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  • N°26 - Sommaire "Révolution française : une histoire à vif"

    1655416975.jpgACTU
    4 Sociétés
    La nostalgie des langues populaires.
    Entretien avec Claude Duneton
    7 France
    Réforme de l’État ou politique de gribouille ? Sénac de Meilhan
    9 Grand entretien
    Sébastien Lapaque. David Foubert
    12 Europe
    L’irlande : le choix de dire oui. Jérôme L.J di Constanzo
    14 International
    La Chine, la Chine seule. Antoine Clapas
    16 Place royale
    Les bondieuseries historiques. François-Marin Fleutot
    18 Vue de droite
    Le lapin est-il de droite ? Jean Desfontaines

    DOSSIER
    Révolution française : une histoire à vif
    20 L’honneur perdu. Antoine Foncin
    23 L’historiographie révolutionnaire.
    Entretien avec Jean Tulard
    25 Aux larmes citoyennes. Alain Raison
    28 Catholiques et révolutionnaires.
    Entretien avec le père Jean Dubray
    30 Le naufrage économique. Philippe Mesnard

    CULTURE
    32 Nos humanités
    Manuel des certitudes perdues. Pierre Magnard
    34 BD Philippe Mesnard
    36 Revues des autres
    Arrêter le progrès ? Brice Bourdeau
    38 Lectures
    Entretien avec Ernst Nolte
    50 Arts Amaury Chabert

     

     

     

     

  • N°26 - Editorial "Révolution française : une histoire à vif"

    phrygien.jpgÀ tant faire qu’à fêter les vieilles gloires républicaines et les fondements bien assurés du discours consensuel, nous sommes revenus (une première fois) sur Le Livre noir de la Révolution française, pour apporter quelques éclairages complémentaires, et sur la deuxième guerre mondiale, pour vérifier que les choses sont toujours plus riches que ce qu’on imagine. Nous aurions même pu être encore plus pertinents si tous ceux que nous voulions interroger avaient accepté de répondre. Mais le débat est chose compliqué. Nous l’organisons autrement, du coup, dans nos Conférences : Richard Millet en avril, Jean-Pierre Le Goff et Gérard Leclerc en juin (pour parler de mai : nous sommes très constants).
    Les Épées sont donc ainsi en perpétuelle recherche de dialogue, y compris avec ses lecteurs, parfois pris à rebours de leurs convictions par tel ou tel article : c’est le rôle d’une revue de susciter l’interrogation, de défricher de nouveaux terrains ou de tracer tranquillement le sillon, le tout en même temps, au risque de choquer un jour et de lasser le lendemain.  Les Épées n’ont pas vocation à devenir un quelconque mouvement politique. Dans ce contexte déstabilisant d’une « France morcelée » (Le Goff), les questions sont peut-être plus importantes que les réponses toutes faites. Ce que nous tentons de délivrer, c’est une approche du réel renouvelée, empreinte de bon sens et à la fois enracinée, condition indispensable sans laquelle l’homme n’est pas lui-même.
    Il ne s’agit pas aux Épées, il ne s’agira jamais, de réfléchir aux moyens de relancer la croissance mais plutôt de retrouver le sens de la communauté –  et en premier lieu, la langue dont nous parle Claude Duneton –, et ainsi de réfléchir au sens unique, soit disant inéluctable, imposé par la matrice libérale.
     
    Les Epées