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  • N°2 - Sommaire "La société de l'indifférence"

    medium_couv2-pench.gifActualité

    Politique
    Euro no ! par Michel Collin

    L’humeur de E. Marsala
    Voyage en Thanatopie

    DOSSIER : La société de l’indifférence
    De l’indifférenciation à l’in-différence par Michel Michel
    La République nous ennuie par l’abbé Guillaume de Tanoüarn
    Entretien avec Jean-François Mattéi
    Lecture de l’indifférence par Antoine Clapas
    L’homme (extrait) par Ernest Hello
    France, la pauvre par Eric Letty
    L’autre, un apologue par Gilles Ceaucescu

    Alexandre Vialatte par Jules Hyppolite
    Honoré d’Estienne d’Orves, un héros français par François-Marin Fleutot

    Lectures
    Par Sébastien de Kerrero, Pierre Lafarge, Anne-Cécile Molitor, David Sellos.

    Études maurrassiennes
    par Pierre Lafarge

    Fabuleuse Amélie par Georges Bourcier

    La rue
    Campagne contre l’euro

     

    Articles disponibles sur le site

     

     

  • N°2 - Editorial "La société de l'indifférence"

    À partir de son capital de civilisation, de sa perpétuelle germination d’idées, de ses instincts critiques (même s’ils sont trop souvent sélectifs), grâce au génie de sa langue, à son pouvoir culturel, aux affinités et persistances françaises répandues à travers le monde, la France est en mesure de retrouver l’unité de son destin. Il y manque une volonté et une présence royale préparée par l’effort patient du royalisme politique et nourris par les exemples passés ou étrangers de la monarchie : tel est le projet de construction auquel nous sommes destinés.

    Le passage à l’euro, les sirènes de la mondialisation, l’individualisme contemporain ne doivent pas faire oublier que la vie des nations est fort longue, et que les défaites ni les abaissements ne sont inscrits au tableau des fatalités. Sans aucun doute, l’institution monarchique permettrait que ces difficultés ne se convertissent pas en périls.

    L’attention au sens des mots est le premier outil de conquête, la première raison imposée aux forces de mort qui assèchent ou tourmentent le patriotisme français. C’est pourquoi il importe de s’attaquer courageusement à l’indifférence contemporaine : Les Épées sont heureuses d’accueillir pour cela les réponses d’un des meilleurs commentateurs actuels de Platon, Jean-François Mattéi. Parce que l’indifférence est le risque perpétuel de chacun, lorsqu’il a pris sa solitude pour la mesure de toute chose.

     

    Les Épées