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trimestrielle - Page 4

  • Critique - Sang neuf

    1965d05b6f56c6173f715b0365fb9983.jpgGrâce à la mise en place rapide d’une nouvelle équipe rédactionnelle, L’Action Française 2000 sort des marais. Pari difficile au demeurant mais tenu avec les deux derniers numéros, qui ont permit de découvrir une demi-nouvelle formule dont on attend avec grande impatience tous les développements.
    Désormais la vieille maison étale un potentiel riche, regroupant les brebis dispersées de ces 20 dernières années - François Roberday (le retour du fils prodigue), JCB, Hector Nissac (connu de nos lecteurs), Arnaud Naudin - et s’adjoignant quelques nouvelles signatures ambitieuses (Marsay notamment qui relance le billet “La Politique” autrefois tenu par Boutang à la suite de Maurras…) et bien d’autres encore.
    Un rubricage bien repensé pour une formule plus offensive qui assume largement l’histoire du journal (rubriques “La nation française”, “Aspects de la France”, “La Politique”) et annonce bien les ambitions et l’ancrage de la nouvelle équipe.
    Pari audacieux que de reprendre ce titre mais qui, dans le paysage si pauvre de la presse de droite en France, peut rapidement tirer son épingle du jeu, pourvu qu’il soit soutenu. Alors, descendez de suite chez votre kiosquier : www.trouverlapresse.com

    DF

  • Chr.Heb. (25) - La trahison

    d4e092c9018b7d0a3c318593230086b4.jpgAujourd'hui la Constitution de la République française sera une nouvelle fois modifiée par les parlementaires. Cette fois ce sera pour permettre l'adoption du traité de Lisbonne. En somme les députés et les sénateurs vont voter pour que le texte qui régit les droits à l'intérieur de notre territoire soit supplanté par un texte supra-national (le traité européen). Ce n'est rien d'autre qu'une trahison, demandée explicitement par le chef de l'Etat dont la principale mission pourtant est d'être garant des institutions.

    Ces parlementaires valent encore moins que ceux qui avaient voté les pleins pouvoirs au Maréchal Pétain en juillet 1940, car ceux-là, à leur décharge, devaient faire face à une situation catastrophique. Aujourd'hui rien n'oblige à abandonner notre souveraineté à des commissions internationales.
    Tout cela est proprement écoeurant, mais hélas sans surprise. Les noms des traîtres seront bientôt sur ce site, mais aussi ceux des quelques justes. Il nous reste à relire l'appel d'Anne-Marie Le Pourhiet.

     

    Sitemestre des Epées