Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

non - Page 2

  • Chr.Heb.(37) - Retour du plombier polonais

    1859964793.jpgA l'occasion de sa visite à Varsovie, le chef de l'Etat a annoncé que la France avec un an d'avance sur le calendrier prévu ouvrira ses frontières aux travailleurs de la République tchèque, de la Slovaquie, de la Hongrie, de l'Estonie, de la Lettonie, de la Lituanie et de la Slovénie, au 1er juillet 2008 lorsque Paris assumera la présidence de l'Union européenne.
    Un an après l'élection présidentielle et trois ans après le "NON" à la Constitution européenne, qui l'avait emporté en partie à cause de la menace du plombier polonais, le peuple français est trompé et volé. Cette mesure engendrée par le mondialisme et la doctrine ultra-libérale, n'a qu'un but, détruire une des dernières frontières qui existent, la frontière du droit social.
    On peut s'étonner que pas un seul mouvement de gauche ne se soit élevé avec force contre cette mesure. Il est vrai qu'ils sont plus occupés en ce moment à défendre les nouveaux opprimés, les clandestins, faisant ainsi le jeu du grand capital et des patrons sans foi ni loi.
     
    Charles Perche
     
     

  • Chr.Heb. (4) - L'Empereur Barroso

    6ab14ab18d61bf813b74c9637c6bc2f4.jpg

    L'Empereur Barroso

    "Les empires ont été habituellement bâtis par la force avec un diktat imposant du centre, sa volonté aux autres. Maintenant ce que nous avons est le premier "empire non-impérial". Nous avons 27 pays pleinement décidés à fonctionner ensemble et mettre en commun leur souveraineté." José-Manuel Barroso, le 10 juillet à Strasbourg

    La dernière phrase illustre bien le mépris que ces eurocrates ont pour le peuple. "pleinement décidés", il me semble que la France a dit NON au dernier traité constitutionnel, à moins que la souveraineté ne repose que sur les choix d'un chef d'Etat et non sur le peuple. Quant à la fin de sa phrase, "mettre en commun leur souveraineté" c'est dans la droite ligne des précédentes expressions toutes faites telles que "fédérations d'Etat-nations". Dans le petit monde de Bruxelles on résoud les paradoxes avec des slogans. La méthode a été très largement éprouvée au XXe siècle.

     

    Sitemestre des Epées