A l'occasion de sa visite à Varsovie, le chef de l'Etat a annoncé que la France avec un an d'avance sur le calendrier prévu ouvrira ses frontières aux travailleurs de la République tchèque, de la Slovaquie, de la Hongrie, de l'Estonie, de la Lettonie, de la Lituanie et de la Slovénie, au 1er juillet 2008 lorsque Paris assumera la présidence de l'Union européenne.
Un an après l'élection présidentielle et trois ans après le "NON" à la Constitution européenne, qui l'avait emporté en partie à cause de la menace du plombier polonais, le peuple français est trompé et volé. Cette mesure engendrée par le mondialisme et la doctrine ultra-libérale, n'a qu'un but, détruire une des dernières frontières qui existent, la frontière du droit social.
On peut s'étonner que pas un seul mouvement de gauche ne se soit élevé avec force contre cette mesure. Il est vrai qu'ils sont plus occupés en ce moment à défendre les nouveaux opprimés, les clandestins, faisant ainsi le jeu du grand capital et des patrons sans foi ni loi.
Un an après l'élection présidentielle et trois ans après le "NON" à la Constitution européenne, qui l'avait emporté en partie à cause de la menace du plombier polonais, le peuple français est trompé et volé. Cette mesure engendrée par le mondialisme et la doctrine ultra-libérale, n'a qu'un but, détruire une des dernières frontières qui existent, la frontière du droit social.
On peut s'étonner que pas un seul mouvement de gauche ne se soit élevé avec force contre cette mesure. Il est vrai qu'ils sont plus occupés en ce moment à défendre les nouveaux opprimés, les clandestins, faisant ainsi le jeu du grand capital et des patrons sans foi ni loi.
Charles Perche