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  • N°3 - Sommaire "Géopolitique d'abord"

    medium_couv3-pench.gifActualité
    Les harkis  par Georges Laffly
    Les nations, garantes des libertés : Entretien avec John Laughland
    Le trimestre des Épées par Michel Collin
    L’Europe des régions par Pierre Hillard

    DOSSIER : La géopolitique
    La politique extérieure de la France par Aymeric Chauprade
    La poudrière afghane : Entretien avec Christophe de Ponfilly
    Reflexions sur le centre du monde par Thomas Molnar
    Le 11 septembre et les médias : Entretien avec Jean Sévillia

    Actualité
    L’avenir du royalisme par Antoine Clapas

    Cinéma
    L’Anglaise et le duc par Norbert Multeau

    Nos humanités
    Hésiode par Alain Lanavère

    Lectures
    Par Antoine Clapas, Michel Collin,  Sébastien de Kerrero, Anne-Cécile Molitor, David Sellos.
    Marcel Aymé par Jules-Marie de Saint-Hyppolite

    L’humeur de E. Marsala
    Deuxième jour en Thanatopie

     

    Articles disponibles sur le site

     

  • N°3 - Editorial "Géopolitique d'abord"

    Ce numéro est dédié au commandant Massoud

    La forme de sclérose et d'impuissance politique qui caractérise nos "élites" et une partie de la population tient non seulement à leur inculture politique et historique, mais aussi à leur ignorance du reste du monde. Les drames américains et afghans viennent soudain les réveiller, en leur rappelant qu'ils appartiennent à l'histoire, qu'aucune paix n'est due à aucun peuple, et qu'il faut beaucoup d'efforts et d'intelligence pour y parvenir. Encore les dangers qui traversent le monde doivent-ils être soigneusement interprétés. Tandis que la francophilie est plus répandue encore que la francophonie, des irresponsables n'en finissent pas de perdre les discours dans la diabolisation, le remords, l'esprit de guerre civile ; de ce pays, il font une bouche d'égout. La France a pourtant d'importants atouts pour exister politiquement sur chaque continent.

    Avec le courant de la nouvelle école de géopolitique (celle d'Aymeric Chauprade), nous sommes incités à découvrir une science maîtresse de la volonté politique. Or, là encore, ces outils de compréhension ne suffisent pas à la France si des volontés ne savent pas s'en servir, ou que les jeux électoraux les soumettent. Ce qui manque tout premièrement à notre pays, c'est une volonté incarnée et responsable, qui garantisse à la fois les personnes, les biens et les divers héritages qui donnent vie au creuset français. Et le royalisme est là pour s'imposer comme le vigilant ouvrier de cette volonté juste.

     
    Les Épées